F. de Combret, Le bréviaire de La recherche du temps perdu

20 January 2019

F. de Combret, The Breviary of The Search for Lost Time

François de Combret

Droz

ISBN-13978-2-600-05887-2

896 p.

PRESENTATION In search of lost time is considered one of the greatest novels of all time. The book is also known to be difficult to access. François de Combret frequented Proust for more than half a century and his constant reading brought out strong ideas, essential reflections, up to redundancies of the writer. His Breviary is an example of a life spent reading Proust; a careful reading that put into practice Valery's word: "Proust, the interest of his works lies in each fragment". The Breviary is composed of more than 3,000 of these "fragments" which, in alphabetical order of key words, reveal a secret and subtle network of correspondences. The search resembles an immense cathedral in which, from one end to the other, the echoes of an enchanted world echo and resound. "This contemplation of the essence of things, I was now determined to attach myself to her, to fix it," writes Proust in Le temps retrouvé. The Breviary reports on it.

French:


Le bréviaire de La recherche du temps perdu

François de Combret

 

Droz

ISBN-13978-2-600-05887-2

896 p.

 

PRÉSENTATION

A la recherche du temps perdu

est considéré comme l’un des plus grands romans de tous les temps. Le livre a aussi la réputation d’être difficile d’accès. François de Combret a fréquenté Proust plus d’un demi-siècle et sa lecture constante a dégagé des idées fortes, des réflexions essentielles, jusqu’à des redondances de l’écrivain. Son Bréviaire est exemplaire d’une vie passée à lire Proust ; une lecture attentive qui a mis en pratique le mot de Valéry : « Proust, l’intérêt de ses ouvrages réside dans chaque fragment ».  Le Bréviaire est composé de plus de 3 000 de ces « fragments » qui, classés par ordre alphabétique de mots-clefs, révèlent un secret et subtil réseau de correspondances. La recherche ressemble à une immense cathédrale dans laquelle, d’un bout à l’autre, résonnent et se répondent les échos d’un monde enchanté. « Cette contemplation de l’essence des choses, j’étais maintenant décidé à m’attacher à elle, à la fixer », écrit Proust dans Le temps retrouvé. Le Bréviaire en rend compte.