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Mrs. Boudault writes to us about the adoption of Malian children: If there is a culprit, it is Rayon de Soleil France *

Following our articles on the wave of adoptions of Malian children in France, initiated by the French NGO "Rayon de soleil", Mrs. Boudault Danielle, Representative of the subsidiary of this NGO in Bamako from 1988 - 1991, addressed to our editorial staff, from Limours (France), a right of reply which we publish in full.

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I was assigned to Bamako in Mali on 09/01/1987, seconded by the Finance Administration to the Ministry of Cooperation and lecturer at the National School of Administration in Bamako.

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My salary as a Technical Assistant allowed me, at my modest level, to react to painful situations that I could encounter. The house was open, those who wished could find a little help, listening, and hope.

Better Care Network Nederland van start

Better Care Network Nederland van start

ingevoerd op 30-11-2007

Afgelopen 8 november vond in Den Haag de officiële oprichtingsbijeenkomst plaats van de Nederlandse afdeling van BCN. Tal van vertegenwoordigers van professionele organisaties en particuliere initiatieven voor kinderopvang in ontwikkelingslanden, in Oost-Europa en in Nederland kwamen naar de Haagse Lobby van het Stadhuis om de bijeenkomst bij te wonen. Daar werd druk uitgewisseld in rondetafelgesprekken, discussies en een-op-eengesprekken. Sander Dekker, wethouder Onderwijs, Jeugdzaken en Sport van de gemeente Den Haag lanceerde de kersverse website van het netwerk: www.bettercarenetwork.nl.

Daarmee was de eerste landelijke afdeling van het internationale secretariaat van BCN een feit. Het volledige verslag van de bijeenkomst kunt u dowloaden vanaf deze site bij nieuws.

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Sacked EU whistleblower loses claim (Andreasen)

Sacked EU whistleblower loses claim

Marta Andreasen. Sacked EU whistleblower loses claim

Marta Andreasen was sacked after alleging that the EU was riddled with fraud

By Bruno Waterfield in Brussels12:01AM GMT 09 Nov 2007

A Brussels whistleblower sacked for alleging that EU book-keeping was riddled with "slush funds and fraud" vowed to fight on after she lost her battle against wrongful dismissal.

L’ONG française "Rayon Soleil" au cœur du scandale

Posted: 09/11/2007 06:17:45    Post subject: L’ONG française "Rayon Soleil" au cœur du scandale Reply with quote

L’ONG française "Rayon Soleil" au cœur du scandale

Sur les traces des enfants maliens disparus en France - L’Aube poursuit avec abnégation ses investigations sur les centaines d’enfants envoyés en France en adoption, par l’ONG française « Rayon soleil ». Plus nous avançons dans nos enquêtes, plus les contours de l’affaire se précisent. En effet, depuis le début de nos révélations (voir l’AUBE n° 13 du jeudi 1er novembre 2007), sur les nombreux cas d’adoption, orchestrés par l’Ong « Rayon soleil » en France par l’entreprise de sa représentation malienne, les locaux abritant notre Rédaction sont quotidiennement pris d’assaut par des mères réclamant leurs enfants, partis en France et dont elles n’ont plus les nouvelles.

L’Aube se voit désormais investi d’une mission cardinale par ces nombreuses mères qui s’estiment avoir été tout simplement dupées par « Rayon soleil ». Après le cri de détresse de Mme Guindo Goundo Keïta (voir l’Aube n°14 du 05 novembre 2007), Mme Keïta Sira Dembélé (l’une des trois veuves de feu Abdoul Wahab Keïta), et autre mère victime de la duperie de « Rayon soleil », s’est confiée à notre reporter, en présence de ses co-épouses, Fatou Samaké, et Fatoumata Traoré et de plusieurs dizaines de femmes, aussi dupées, par l’Ong incriminée. C’était au cours d’une grande rencontre organisée au domicile du chef de quartier de Babiyabougou, en commune I du District de Bamako.

Au nom de l’ensemble des mères victimes présentes, Madame Keïta Sira Dembélé s’est prêtée, sans détours, à nos questions.

L’Aube : Madame Keïta, comment avez-vous eu connaissance de l’ONG « Rayon soleil » ?

Mme Keïta Sira Dembélé : C’est par mon défunt mari, qui avait lui aussi appris l’existence de l’ONG au quartier Hippodrome de Bamako par monsieur Namaké Konaté, qui n’était en fait que le cuisinier de la première responsable de l’ONG.

Nous savons que vous avez deux enfants en adoption en France. Dans quelles conditions cette adoption a été faite ?

D’après ce qu’on m’a dit, quelques jours après le contact que mon mari a eu avec l’ONG, une dame française accompagnée d’un officier malien est arrivée dans notre famille, sous prétexte de venir dire bonjour. J’imagine que l’officier qui avait accompagné la femme blanche a du convaincre mon mari d’accepter de faire adopter quelques uns de ses enfants en France, par l’ONG « Rayon soleil ». Car, quelques jours après la visite effectuée par la française et l’officier malien, mon mari m’a fait part de sa décision de faire adopter en France, certains de nos enfants.

Comment saviez que ce monsieur est un officier ?

A cause de son uniforme et ses galons, il s’appelle Mamadou Konaté. Et, il m’a dit qu’il était capitaine de police. L’uniforme et les galons qu’il portait confirmaient cela. Mon défunt mari m’a aussi rassurée sur la crédibilité de l’homme.

Qu’avez-vous répondu quand votre mari vous a fait la proposition d’envoyer en France vos enfants ?

Vous savez, il est toujours difficile voire douloureux pour une femme de se séparer de son enfant. Mais dans notre culture, c’est l’homme qui décide de faire de son enfant ce qu’il veut. L’avis de la femme compte peu aux yeux du mari. Je lui ai tout de même demandé ce que renfermait le principe de l’adoption d’un enfant en France. Il m’a répondu que le capitaine Mamadou Konaté lui avait dit que les enfants devaient être confiés à des familles en France. Des familles qui allaient s’occuper de les mettre à l’école, de les éduquer pour leur bonheur, jusqu’à leur majorité. Et qu’après, ils reviendront dans leurs familles respectives, s’ils le désirent.

Ces propos vous ont rassurée ?

J’avoue que je n’y croyais pas trop. Et, j’ai exprimé alors à mon mari, le souhait de parler personnellement à cet officier de police dénommé Mamadou Konaté. Et, lorsque je l’ai rencontré lors d’une de ses fréquentes visites à notre domicile, il m’a dit qu’il n’y avait aucun doute ; nos enfants nous reviendraient quand ils le voudront dès leur majorité accomplie. Et qu’avant cela, nos enfants viendraient en vacances, sur un rythme de cinq ans, selon les possibilités financières de chaque famille adoptante. Mamadou Konaté nous avait totalement rassurés, mon mari, mes co-épouses et moi-même. Dans sa maladie qui l’a emporté, mon mari me disait un jour : « ...Sira, excuse-moi d’avoir occasionné le départ en France de tes enfants. Mais, je te fais le serment que le jour où je reverrai Mamadou Konaté, ce sale officier de police, je règlerai mon compte avec lui. Soit il me remet mes enfants ou, je le tuerai puis, ensuite je me donne la mort ».

Avez-vous combien d’enfants, en dehors des cinq enfants de votre mari, ont été envoyés en adoption en France par le truchement de l’ONG « Rayon soleil » ?

Je ne saurai vous le dire avec précision. Ce que je puis vous assurer par contre, c’est qu’ils sont très nombreux. Rien que dans notre quartier ici, on peut facilement en compter plus d’une vingtaine. Vous avez entendu les femmes présentes ici parler de leurs cas personnels. Toutes ont perdu un ou plusieurs enfants. Et toutes, comme moi, désignent le même Mamadou Konaté comme étant responsable du départ en France de leurs enfants. Ce capitaine nous a toutes rassurées avec quelques mots : « Vous me voyez, je suis officier de police malien. Je ne saurais cautionner ces adoptions avec « Rayon soleil » si ce n’était pas quelque chose de tout à fait propre ».

Propos recueillis par Alpha Kaba Diakité

L’Aube du 8 novembre 2007

Sur les traces des enfants maliens disparus en France (III) : L’ONG française « Rayon Soleil » au cœur du scandale

L’Aube poursuit avec abnégation ses investigations sur les centaines d’enfants envoyés en France en adoption, par l’ONG française « Rayon soleil ». Plus nous avançons dans nos enquêtes, plus les contours de l’affaire se précisent. En effet, depuis le début de nos révélations (voir l’AUBE n° 13 du jeudi 1er novembre 2007), sur les nombreux cas d’adoption, orchestrés par l’Ong « Rayon soleil » en France par l’entreprise de sa représentation malienne, les locaux abritant notre Rédaction sont quotidiennement pris d’assaut par des mères réclamant leurs enfants, partis en France et dont elles n’ont plus les nouvelles.

L’Aube se voit désormais investi d’une mission cardinale par ces nombreuses mères qui s’estiment avoir été tout simplement dupées par « Rayon soleil ».

Après le cri de détresse de Mme Guindo Goundo Keïta (voir l’Aube n°14 du 05 novembre 2007), Mme Keïta Sira Dembélé (l’une des trois veuves de feu Abdoul Wahab Keïta), et autre mère victime de la duperie de « Rayon soleil », s’est confiée à notre reporter, en présence de ses co-épouses, Fatou Samaké, et Fatoumata Traoré et de plusieurs dizaines de femmes, aussi dupées, par l’Ong incriminée. C’était au cours d’une grande rencontre organisée au domicile du chef de quartier de Babiyabougou, en commune I du District de Bamako.

Au nom de l’ensemble des mères victimes présentes, Madame Keïta Sira Dembélé s’est prêtée, sans détours, à nos questions.

L’Aube : Madame Keïta, comment avez-vous eu connaissance de l’ONG « Rayon soleil » ?

Focussing on children in need of care and protection

Focussing on children in need of care and protection

Staff Reporter

The handbook is useful for people working in the area of child rights

BANGALORE: There is still a long way to go for all children in India to dream of living a healthy, happy childhood free from abuse and exploitation. The protection and promotion of child rights in India vis-À-vis the juvenile justice system is an issue that needs to be addressed with much seriousness and concern.

“Justice for Children,” – a Handbook on Implementing The Juvenile Justice (Care and Protection of Children) Act 2000 and the Juvenile Justice Care and Protection of Children) Amendment Act 2006, is an attempt to guide the statutory body under the Juvenile justice system, the child welfare committees while dealing with the web of legal maze of procedural and substantive laws.

MOGILINO SOCIAL CARE HOME FOR DISABLED CHILDREN TO BE CLOSED AFTER BBC DOCUMENTARY AIRED

MOGILINO SOCIAL CARE HOME FOR DISABLED CHILDREN TO BE CLOSED AFTER BBC DOCUMENTARY AIRED

Tue, Nov 06 2007 11:49 CET bySpasena Baramova 2202 Views 2 Comments The social care home for physically and mentally disabled children in the village of Mogilino would be closed, Standart daily reported. This became clear on November 5 after a visit by Labour and Social Policy Minister Emilia Maslarova, European Integration Minister Gergana Grancharova and Justice Minister Miglena Tacheva to the home.

The home in Mogilino became infamous after the BBC documentary Bulgaria's Abandoned Children aired, portraying the living conditions there.

The reason to close the home was not the bad conditions, but the children's need to receive specialised help, minister Maslarova said. According to her the personnel took good care of the 65 physically and mentally disabled children.

Maslarova added that a day-care centre could be created in the Mogilino home building if any of the people working there or the people from the village decided to raise some of the children in their families. Since there was hardly any interest in adopting them, the Justice Ministry was considering facilitating foreign adoption procedures as well as the disabled children adoption procedure.

In the meantime the Agency for Social Support drew up a plan to accommodate the Mogilino children in alternative specialised homes and protected homes and to provide specialised care for them, a press release by the Council of ministers said. Out of 65 children 4 are already accommodated in specialised institutions in Brestnik and Ruse, 4 are being prepared to be transferred and 3 are sent to specialised kindergartens.

By November 10, 2007 each child should have its own expert profile. The parents of 21 of the children had already given their consent for adoption, Maslarova said.

Minister Grancharova said 10 per cent of the EU citizens were disabled and 51 per cent of Europeans thought efforts to socialise disabled people were not sufficient. She commented that the issue needed to be discussed in order for society to become involved.

Bulgaria's Abandoned Children will be screened on November 6 at the Red House Centre for culture and debate in Sofia. The screening will be followed by a debate on the institutional care for children with disabilities in Bulgaria, Bulgarian News Agency BTA reported.

‘Adoptiedossiers kloppen vaker niet dan wel’

‘Adoptiedossiers kloppen vaker niet dan wel’

‘Wij zijn geen criminelen die illegale kindjes hebben besteld bij de Chinees’, schrijven een wanhopige Patrick en Alinda op hun adoptieblog....

Van onze verslaggeefster Margreet Vermeulen

5 november 2007

De tienduizenden geadopteerden zelf worden ook geraakt door het debat dat nu is losgebrand, weet Hilbrand Westra, oprichter van United Adoptees International (UAI), een belangenorganisatie voor geadopteerden. ‘Zulke schandalen roepen bij geadopteerden automatisch de vraag op of hun adoptie wel correct is gegaan.’ Westra ziet een voorzichtige groei van het aantal geadopteerden dat op zoek is naar de waarheid achter hun dossier. ‘Maar niet iedereen wil op zoek naar zijn roots. Programma’s als Spoorloos wekken wat dat betreft een verkeerde indruk. Want stel dat je ontdekt dat je adoptie-ouders geld onder tafel hebben geschoven of dat je biologische moeder nog leeft terwijl je van je adoptie-ouders had gehoord dat ze bij je geboorte is gestorven. Zulke dingen zetten de relatie met je adoptie-ouders onder grote druk.’

Banana Republic to Baby Republic - Guatemala could shut down its massive adoption industry

On any given day in Antigua, a touristy colonial town in Guatemala, as many as a dozen American couples can be seen lounging with their soon-to-be-adopted Mayan children in the Parque Central or dining nearby in posh restaurants.

The couples enjoy the leisurely Latin American lifestyle?–?constant spring-like temperatures, drooping bougainvillea plumage and stunning views of Volcán de Agua to the south. But lately, fear has set in among the Guatemalan adoption industry. The Guatemalan government is threatening to wrestle control of adoption away from the private sector and either slow it to a crawl or shut it down completely.

Last year, at fancy Antigua hotels or in the lobby of the Marriott in Guatemala City’s upscale Zona 9, Guatemalan foster mothers or adoption attorneys passed many of the 4,135 babies adopted from this country into the eager arms of teary-eyed couples from El Norte. In other words, one percent of all babies born in Guatemala in 2006 ended up in American cribs.

Guatemala is the only Latin American country that doesn’t exercise stringent state control over international adoptions. Adoptions there fall under the notary system, which means they are essentially privatized and run by attorneys who, critics claim, traffic in impoverished, malnourished and sometimes stolen babies.

Adoptive parents can spend approximately $25,000 to $30,000 to adopt from Guatemala, and most of them leave days or weeks later with their little ones cradled in their arms, and with no questions asked as to how the attorneys acquired their babies.