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Mali - Sur les traces des enfants maliens disparus en France

Sur les traces des enfants maliens disparus en France


Une mère en détresse réclame ses jumeaux - Après notre article intitulé « Sur les traces des enfants maliens en France », l’Aube poursuit ses investigations sur les enfants supposés portés disparus en Hexagone. Cette fois, nous ferons des révélations sur le cas de deux jumeaux -Lassana et Awa- qui selon leur maman Madame Guindo Goundo Keïta, n’ont pas donné signe de vie, depuis plus de douze ans.

Partis en France à l’âge de cinq ans, Lassana et Awa étaient pourtant heureux et pleins de vie jusqu’au jour où leur maman a rencontré l’ONG française « Rayon de soleil », par l’entremise d’une de ses camarades. Dans la première partie de notre enquête, (voir l’AUBE n° 13 du jeudi 1er novembre 2007) nous évoquions le cas des cinq Frères Keïta de la famille de Abdoul Wahab Keïta (décédé), où Mme Boudault Danielle, représentante de « Rayon soleil » au moment des faits, était désignée comme principale accusée. Accusation au demeurant fondée sur les témoignages émanant des familles concernées par des cas de disparition portés à notre connaissance.

Madame Guindo Goundo Keïta, désigne elle aussi, la même dame Madame Boudault Danielle, comme responsable du départ en France, de ses deux enfants. Même si elle reconnaît avoir donné son accord pour cela. Mais quand Mme Guindo relate la façon dont ses enfants sont partis en France, c’est avec des larmes. « Le jour où mes enfants ont été pris à notre domicile au Badialan, je n’étais pas présente. J’étais allée faire des courses en ville. Et, c’est à mon retour que j’ai su qu’ils ont été emmenés au siège de « Rayon soleil » sis à l’Hippodrome par Bourama Diakité, chauffeur de Mme B. Danielle.  Aussitôt, j’ai sauté dans un véhicule pour aller voir mes enfants.

Mais avant d’aller au siège, l’on m’avait appris que le chauffeur était venu prendre les enfants et qu’il aurait demandé de se faire remettre les extraits de naissance des jumeaux. Et cela avait été fait. Mais lorsque je suis arrivée au siège de « Rayon soleil », j’ai proposé à Madame Boudault de me remettre les originaux des deux extraits de naissance de mes enfants contre les copies certifiées que j’avais pris soin d’apporter avec moi. Ensuite, poursuit mme Guindo G. Keïta, la responsable de « Rayon soleil » ne m’avait donné aucun document avant d’envoyer mes enfants en France. Toutefois, je recevais des photos de mes deux enfants pendant les premières années qui ont suivi leur départ. Et, c’est Bourama Diakité, le chauffeur de Mme Boudault, resté à Bamako après le retour définitif de sa patronne, qui me portait les courriers à la maison et les photos aussi. »

De l’avis de Mme Guindo, ses courriers venaient toujours sans aucune mention concernant la ou les adresses de mes enfants ni celles des familles les ayant adoptés. D’autres mères en dehors de la dame Goundo Keïta, seraient également dans un état de détresse morale et affective assez profond. Stress causé par le fait qu’elles voient s’amenuiser chaque instant l’espoir de revoir un jour leurs enfants. Parmi ces mères désespérées, figurent Madame Salimata (Koulouba), l’épouse du défunt Abdel Wahab Keita, à Babiagougou, Mme Rokia (Niamakoro) et bien d’autres encore, selon nos sources.

Sous la pression des mères à la recherche de leurs enfants amenés en hexagone par l’Ong « Rayon Soleil », Bourama Diakité se sent excédé. « …Je ne m’explique pas du tout l’acharnement de toutes ces femmes sur moi. Au « Rayon Soleil », ma fonction se limite à conduire ma patronne et amener sa fille à l’école française de Bamako. Quant aux enfants qui étaient en placement au « Rayon Soleil » je transportais à l’hôpital ceux dont l’état exigeait des soins. Mais j’amenais toujours ceux-là sur l’ordre de Madame Baudault, la patronne qui m’a recruté. Les enfants programmés pour l’adoption en France, subissaient des visites et analyses médicales auprès des centres hospitaliers comme le Point G, Gabriel Touré et l’INRSP, avant leur départ. Ces courses, oui je les faisais. Ensuite je conduisais souvent Mme Baudault vers les tribunaux notamment le tribunal de la commune II et celui de la commune I en vue de faire des documents de justice pour les enfants à adopter en France. Mon rôle à l’Ong « Rayon Soleil » se limitait exclusivement en cela. Rien d’autre ».

Si c’est à cause du fait que les courriers me sont adressés pour que je les ventile ensuite au niveau des familles d’origine des enfants que « Rayon Soleil » a fait adopter en France, alors ces femmes se trompent d’ennemi. Ce n’est pas à moi qu’elles doivent s’en prendre mais plutôt à l’Ong « Rayon Soleil ».

Tractations ambiguës entre parents biologiques et « Rayon Soleil »

Toutes les mères que nous avons contactées dans le cadre de notre enquête sur les enfants adoptés en France par le truchement de « Rayon Soleil » et qui ne donnent plus signe de vie à leurs familles d’origine au Mali, n’ont qu’un mot à la bouche ; ils (les responsables de Rayon Soleil) ont emmené mon enfant en France sans me laisser aucun document d’adoption et ni une adresse de la famille adoptante. Ces mères jurent, la main sur le cœur, qu’elles n’ont pas perçu une once de la part de l’Ong Rayon Soleil. Et lorsqu’on leur pose la question si elles savent faire la différence entre les deux types d’adoption à savoir l’adoption protection et l’adoption filiation, c’est sans détour qu’elles répondent non ! Rien d’étonnant quand on connaît le taux d’analphabète très élevé des femmes au Mali.

Cette situation suscite deux questions : premièrement est-ce que l’ONG « Rayon soleil avait-elle pris la précaution de faire à l’intention des familles d’origine des enfants qu’elle a fait adopter en France, une lecture pédagogique des textes législatifs en matière d’adoption internationale au Mali ? Les autorités administratives  ont-elles été suffisamment vigilantes pour éviter aux nombreuses mères victimes aux cœurs déchirés, d’être flouées par l’ONG « Rayon Soleil ?

Des mères flouées par « Rayon soleil »

A en croire Mme Guindo Goundo Keïta, elle n’aurait pas été associée aux formalités administratives qui ont abouti à l’adoption de ses jumeaux en France. Et d’autres mères seraient, selon Mme Guindo, dans la même situation.

En effet, quatre autres mères contactées dans le cadre de notre enquête, nous ont déclaré fermement ne pas disposer d’aucun document relatif à l’adoption en France de leurs enfants. Non plus, elles n’auraient pas eu aucun contact avec un juge malien.

Ces déclarations sont d’autant plus étonnantes qu’elles tranchent avec celles faites par l’ex-chauffeur de Mme Boudault Danielle, pointée du doigt par plusieurs mères comme étant la seule responsable de leur détresse morale. Bourama Diakité, l’ex-chauffeur à « Rayon soleil », nous a révélé en effet que les documents d’adoption faits par sa patronne se faisaient généralement au niveau de deux tribunaux ; à savoir le tribunal de la commune I et celui de la commune II. Jointe au téléphone par notre Rédaction Maître S.M, en service au tribunal de la commune II à l’époque des faits (1990-1991), nous a donné des éclaircissements sur les textes juridiques qui étaient en vigueur sur l’adoption du Mali. Et selon Maître S.M, ces textes ne prévoyaient pas l’adoption –filiation. Seule l’adoption-protection était possible. Et cette forme d’adoption ne faisait nullement obligation aux parents biologiques de se présenter au Tribunal.

Le Mali et d’autres pays, face aux dérives constatées ici et là, en matière d’adoption internationale, ont dû se doter d’un instrument juridique mieux adapté et garantissant au mieux les intérêts de l’enfant adopté et en fixant plus d’obligation pour l’adoptant envers l’enfant. De l’avis de Maître S.M, l’adoptant venait seul par devant le juge, muni d’une simple autorisation signée par les parents et légalisée par une mairie. Il ne s’agissait donc pas d’une procédure compliquée contrairement aux textes en vigueur actuellement au Mali sur l’adoption. A la lumière de ces précisions, l’on comprend tant de facilité qu’avait eu « Rayon soleil » pour faire adopter autant d’enfants maliens sous le régime adoption-protection. Mais pourquoi alors certaines mères sont-elle restées plusieurs années, sans avoir des nouvelles de leurs enfants adoptés en France par le truchement de Madame Boudault Danielle, au nom de « Rayon soleil » ?

Pour quelles raisons Madame Boudault ne révèle-t-elle pas les adresses des familles adoptantes des enfants maliens surtout quand on sait que ces enfants n’avaient pas fait l’objet d’adoption –filiation (qui annule chez les parents biologiques tout droit de paternité sur l’enfant adopté) ? Madame Guindo Goundo Keïta exige que Mme B. Danielle lui révèle l’adresse de la famille auprès de laquelle elle a fait adopter Lassana et Awa qui ont fêté le 28 octobre 2007, leur 22è anniversaire. Les jumeaux Lassana et Awa sont-ils séparés, communiquent-ils ? Autant de questions que se pose la mère des jumeaux depuis bien longtemps.

Madame Boudault Danielle ou à défaut, la Direction de « Rayon soleil » au 8 bis, Rue Martel (Paris 10è arrondissement) pourra-t-elle soulager le cœur meurtri de Goundo Keïta en lui donnant enfin des nouvelles de ses enfants ?

Alpha K. Diakité, L'Aube du 5 novembre 2007

Adoptionsstop fra Indien ophævet

Adoptionsstop fra Indien ophævet

Pressemeddelelse

Det midlertidige stop for adoptioner fra Indien, som blev indført i juni, ophæves i dag. Det har familie- og forbrugerminister Carina

Christensen besluttet på baggrund af anbefalinger fra Familiestyrelsen.

Familie- og forbrugerminister Carina Christensen siger:

”Jeg har i dag ophævet det midlertidige stop for adoptioner fra Indien. Det gør jeg på baggrund af anbefaling fra Familiestyrelsen, som

dels selv har undersøgt den konkrete sag, dels har haft et revisionsfirma til at gennemgå økonomien i adoptionerne fra Indien.”

Det midlertidige stop blev indført på baggrund af en sag, hvor en indisk far til DR-tv oplyste, at han var blevet ’franarret’ sine børn. Børn

som efterfølgende var blevet bortadopteret til Danmark.

Der blev ved samme lejlighed rejst mistanke om uretmæssige, økonomiske transaktioner mellem AC Børnehjælp og deres indiske

samarbejdspart.

En undersøgelse, som Familiestyrelsen har gennemført, viser, at den konkrete sag blev behandlet korrekt i både Indien og Danmark, og at

faderen med vidner havde givet samtykke på sit eget sprog til bortadoption.

En grundig gennemgang af alle aktuelle sager vedrørende adoption af børn fra Indien til Danmark viste ifølge Familiestyrelsen,

at adoptionsproceduren i alle tilfælde var overholdt.

En revisionsundersøgelse af visse økonomiske transaktioner fra 2000-2007 fra adoptionsformidlere i Danmark til modtagere i Indien,

konkluderer foreløbigt, at der i det analyserede materiale ikke er belæg for at slutte, at adoption sker med økonomisk vinding for øje. Den

endelige revisionsrapport foreligger endnu ikke.

Familieminister Carina Christensen vil på baggrund af denne sag bede Familiestyrelsen om et forslag til, hvordan man kan skabe større

gennemsigtighed i de formidlende organisationers arbejde og økonomi - både hvad angår direkte betalinger, donationer, driftstilskud og

almindeligt børnehjælpsarbejde, som de udfører i de lande, som vi modtager børn fra.

Kontakt:

For yderligere information, familie- og forbrugerministerens særlige rådgiver Lars Kaaber: 25408830

The Supreme Court has clarified the rules of international adoption of Kazakh children

The Supreme Court has clarified the rules of international adoption of Kazakh children

05.10.2007

Last week, a judge in Astana the Supervisory Board of the Supreme Court gave Galia AKKUOVA official comments on international adoptions Kazakh orphans.

In RK permit foreign citizens to adopt a child gives the court. According to Ms. Akkuovoy, currently the country's 16,884 children living in orphanages, even in 2084 to three years of living in orphanages. 80% of them - the so-called "social orphans", that is, children with living parents. There are 6 children's villages of family type, 29 family houses, 23 houses and 3 youth non-"children's village". These institutions brought up only 16.6% of children. The judge said that "in such a situation, the optimal shape of the device is the adoption of children": "Since the adoption develop not only close, relationship, but there is their legal recognition."

In 1999, the existing Law "On Marriage and the Family," which allowed for the first time in Kazakhstan, international adoption, and put on the courts the duty to take decisions to permit it. According to the Sun, for 8 years, more than 20,000 children are adopted citizens of the Republic of Kazakhstan, about 6000 - foreigners.

Asistenta din Bavaria

Asistenta din Bavaria

AUTOR: LAURA CATUNEANU

DATA PUBLICARII: 04/10/2007

Vicepresedintele Parlamentului bavarez, Barbara Stamm, s-a aflat ieri la Sibiu pentru a vorbi despre succesul programului de asistenta sociala si cel al centrului de ingrijire de pe strada Pedagogilor.

Aproximativ 300 de absolventi ai scolii de asistenta sociala, infiintata de Fundatia Bavaria pentru Romania, au fost pregatiti in profesia de asistent recuperator. Acestea sint datele oferite, ieri, de Barbara Stamm, vicepresedinte al Parlamentului bavarez si delegatul Bavariei pentru relatia cu Romania. „Prin aceasta fundatie dorim sa ridicam nivelul de asistenta sociala. Datorita legaturilor strinse pe care le avem cu Sibiul si cu Forumul German am reusit ca, de la o scoala postliceala, sa ajungem la dezvoltarea unei scoli care este orientata spre formarea de ingrijitori pentru persoanele virstnice", a spus Stramm. Pentru acest proiect a fost nevoie de un milion de euro, bani care au venit din fonduri bugetare, donatii de la cetatenii din Bavaria si colaborarea cu alte fundatii.

Adoption Fee Adoption Link

http://www.adoption-link.org/kenya-program.aspx
 
 
Kenya Adoption Program Adoption-Link is pleased to announce our new adoption program in Kenya!

Adopting from Kenya:
Adopting from Kenya can be a demanding process, largely because the Kenyan government requires adoptive parents to relocate to Kenya for 6 - 10 months. Though living in Kenya would be an incredible experience for any family that can make it possible. Kenya is a major tourist destination and people from all over the world visit Kenya to go on safari, enjoy the country’s beautiful landscapes and experience their diverse culture.

Eligibility requirements include:
1. Married couples who have been married for at least three years.
2. At least one of the applicants must be between 25 years old and 65 years old, and more than 21 years older than the child. The applicants may be related to the child.

The Kenyan government will not grant adoptions to the following::
1. To a single foreign applicant (exceptions made for special needs children);
2. If one or both applicants is not of sound mind, as defined by the Kenyan Mental Health Act;
3. To applicant(s) who have been charged and convicted by a court of competent jurisdiction for or of any offence against children under Kenyan laws. (Note: USCIS also requires a criminal background check to be done on all petitioners and may find families ineligible as well);
4. To gay and lesbian individuals or couples;
5. To joint applicants not married to each other.

Residency Requirements:
At least one of the adopting parents must reside in Kenya with the child for at least three months before legal procedures begin, though both parents would be required to go initially to meet the child and to attend the court proceedings Adoption-Link has an in country facilitator that will arrange lodging and make sure you are comfortable throughout your stay. Although some legal adoption steps can be initiated before the three months period has been completed, most of the legal work will only begin after the three month “homestay” with the child is finished.

Professor Alemayehu G. Mariam's letter to Senator Inhofe

Professor Alemayehu G. Mariam's letter to Senator Inhofe

October 22, 2007

Senator James Inhofe

453 Russell Senate Office Bldg.

Washington, D.C. 20510

SECTORAL OPERATIONAL PROGRAMME HUMAN RESOURCES DEVELOPMENT

Children in child protection institutions

In practice, the results of the Government Strategy for the Protection of Child in Difficulty are

as follows:

? number of institutionalised children dropped from 57,181 in December 2001 to 27,188

in June 2006;

Part of Euradopt minutes - written by Elisabeth Sandberg

October 2007

:

Part of Euradopt minutes - written by Elisabeth Sandberg

- Jennifer Degeling from the Permanent Bureau in the Hague and representatives of four Central Authorities had a meeting with the NAC delegates. All parties agreed that we need a concerted effort to try and influence the ideas within the European Union, where it has been argued that inter-country adoption is not a child protection measure and is a last resort. I regard our discussion as a step forward in the EU issue.

We were also informed that the Good Practise Guide on the Hague Adoption Convention will be published soon, probably before the end of the year.

A foundation suspected of -exporting- children keeps -the business-

A foundation suspected of -exporting- children keeps -the business-

Of Andreea Anghel - 03:00, September 30, 2007

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The -Walk in the Light- Foundation, which currently has 39 children in care, is under the patronage of a former criminal investigator precisely for the -export- of children, Ilie Coroam?, and who was said to go out of the way because the children they will be transferred to the General Directorate of Social Assistance and Child Protection (DGASPC) Bistri?a-N?s?ud, it remains -in the business-.

According to the director of DGASPC Bistri?a-N?s?ud, Marin Rus, the process that was written to be based on accusations of organ trafficking was put in place to move from the above-mentioned foundation nine of the 39 children he has in the foundation is currently under the care of the state authorities, this being the only way for these souls to be transferred. Nine, because the businessman Ilie Coroam? declares that he can only finance them for the rest of 30. The story of this foundation is quite confusing and bizarre, considering the fact that until April it worked in Suceava. Trying to establish a route regarding the fate of these children, who are under the care of a former criminal investigator precisely for the -export- of children, I found out from DGASPC Suceava that the Center would have been closed a year ago and that there would have been a pending trial in the courts. However, in an attempt to detail the subject, we found out from the same representatives that the foundation has not been operating since April in Suceava and moved to Bistri?a-N?s?ud, for reasons not yet elucidated by the Suceava authorities. Why in Bistri?a-N?s?ud? Because the city is famous in terms of scandals for international adoptions, an activity that Ilie Coroam? also seems to practice. Why in Bistri?a-N?s?ud? Because the city is famous in terms of scandals for international adoptions, an activity that Ilie Coroam? also seems to practice. Why in Bistri?a-N?s?ud? Because the city is famous in terms of scandals for international adoptions, an activity that Ilie Coroam? also seems to practice.

Why did an adoption agency tell Angelina Jolie I had died of AIDS when they gave her my baby?

Why did an adoption agency tell Angelina Jolie I had died of AIDS when they gave her my baby?

By STEPHEN BEVAN

Last updated at 07:58 26 November 2007

She's happy her daughter Zahara has a better life in America with Angelina Jolie, but in her first-ever interview the child's mother raises disturbing questions about how she was adopted...

Her credentials as a caring superstar could hardly be bettered. Angelina Jolie, mother of four, is as famous for her well-publicised adoptions of children from Third World countries as she is for her Oscar-winning movies and marriage to Brad Pitt.