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Forum: Sri Lanka met adoptie fout

Hallo,

Ik ben een meisje van 19 jaar en ben geadopteerd uit Sri-Lanka samen met mijn zus. Ik heb nog 2 broers uit Sri-Lanka. We zijn allemaal geadopteerd via stichting Flash.

Mijn zus en ik zijn als tweeling gekomen en niemand wist beter dat dat ook waar was. Vorig jaar ben ik voor het eerst naar mijn landje geweest en ik heb het als heel erg leuk ervaren. Dit jaar ben ik er voor de 2e keer geweest nu voor een maand. Natuurlijk erg gaaf weer. Mijn zus voor het eerst gegaan en is in totaal 5 maanden geweest. Zij heeft via stichting Santhosa onze moeder laten opsporen. Nu was de moeder redelijk snel gevonden maar ze had gezegd dat ze maar 1 kind had gekregen en geen twee. Dat was natuurlijk even schrikken in het begin. Mijn zus heeft de moeder ontmoet en dezelfde dag nog een dna test laten doen in Colombo. Dit was ergens in april. Het is gebleken dat het haar moeder is…

Nu heb ik na een paar maanden ook een dna test laten doen maar het is inderdaad niet mijn moeder. Ik baal hier heel erg van omdat ik de gene was die er heel erg mee bezig was en mijn zus niet echt. De moeder heeft gezegd dat ze in het ziekenhuis was bevallen en dat er een andere moeder was die haar een kind gaf en daarna weg was gegaan. Ze wist niet wie de moeder was of hoe ze heette of hoe het kindje heette. Dat was ik dus….

In mijn adoptiepapieren zitten veel fouten…. Al dat mijn zus en ik geboren zijn uit een moeder, de geboorteplaats, geboortedatum, en de geboorteplaats van de moeder ook. Nu heeft ze gezegd dat de advocaat die woont in SriLanka en werkt voor stichting Flash dat heeft geregeld. En dat de stichting geld heeft gegeven om dat zo te regelen. Nu wil ik graag nog steeds weten hoe en wat de waarheid is, daarom ga ik zelf nog de stichting bellen om meer opheldering te krijgen. Maar ik zou ook graag weten of iemand weet wie mij meer kan helpen over hoe ik dit moet aanpakken…

Report Expert Group on Human Rights


 

Report of the Experts Group on Trafficking in Human Beings

 
 

The Experts Group

 
 

This group was commisioned to transform the recommendations of the Brussels Declaration into practice. The group worked together for one year with the objective to create clear proposals for the implementation of the recommendations contained in the Brussels Declaration. The Expert Group consisted of 20 independent experts coming from different countries and from different professional backgrounds who were appointed on personal title by the European Commission.

 
 



 
 

The Report 

 
 

This report formulates proposals on how to implement the recommendations of the Brussels Declaration. On December 22nd 2004 the report was officially submitted to Vice-President Frattini, EU Commissioner for Justice, Security and Liberty.

 
 

The aim of the report is to propose options for tackling trafficking in human beings within the EU. It also lists possibilities for new initiatives, programs and activities. When the experts group developed this report, it did not only consider solely the Brussels Declaration but also benefited from the examination of other sources

 
 

The structure of the report follows that of the Brussels Declaration with its three main focuses on prevention, victim assistance and protection. It tries to redress the balance between a criminalistic approach and the protection of trafficked persons. Therefore it strongly recommends a human rights based approach. A trafficked person is seen as a subjects of rights. Furthermore the report underlines the importance of an integrated and multidisciplinary approach towards combating trafficking in human beings. The report contains 132 recommendations. These are backed up by explanatory papers.

 
 

The report is available in English and in Czech. A summary of the report is also available in German.

 
 

To read the whole report of the experts group please download the pdf-document. Simply click on the Download icon.

Man sentenced to 30 years for sex abuse

Man sentenced to 30 years for sex abuse

William Peckenpaugh convicted for sexually abusing adopted Romanian boy

CARA ROBERTS MUREZ

Statesman Journal

December 21

Pratiques de l'agence d'adoption RomAdopt

Accès direct

Curia Vista - Objets parlementaires

04.3783 – Interpellation

Pratiques de l'agence d'adoption RomAdopt

Déposé par
Date de dépôt
17.12.2004
Déposé au
Conseil national
Etat des délibérations
Liquidé
 

Texte déposé

Dans sa réponse à mes interpellations du 6 octobre 2004 (04.3527 et 04.3529), le Conseil fédéral a écrit que l'intermédiaire RomAdopt, qui place des enfants roumains à adopter, ne disposait plus d'autorisation officielle depuis le 1er janvier 2004.

1. Pourquoi a-t-il fallu interdire à RomAdopt, le 18 avril 2004 et le 18 mai 2004, en la menaçant d'une plainte pénale, toute activité en rapport avec les dossiers en souffrance, si l'intermédiaire ne dispose plus d'autorisation officielle depuis le 1er janvier 2004? Pourquoi ce fait n'a-t-il pas été porté à la connaissance des parents en janvier 2004?

2. Pourquoi la Confédération a-t-elle écrit le 23 mars 2004 à des parents que RomAdopt disposait encore d'une autorisation?

3. Qui est responsable des dossiers de RomAdopt depuis le 1er janvier 2004?

4. Les parents souhaitant adopter un enfant ont pleinement confiance dans les intermédiaires surveillés par la Confédération. Quelles garanties concrètes offre une autorisation officielle?

5. Pourquoi le Conseil fédéral écrit-il que la Roumanie a décrété un moratoire en octobre 2001 alors que ce moratoire remonte au 21 juin 2001? Le Conseil fédéral sait-il que seuls les dossiers déposés en Roumanie avant le 14 décembre 2000 ont été pris en compte? Pourquoi l'ambassade de Suisse à Bucarest a-t-elle encore accepté des dossiers après le 14 décembre 2000, et pourquoi les couples en question n'ont-ils pas été informés?

6. Pourquoi, en mars 2004, malgré les informations que des parents ont fournies à la Confédération, l'intermédiaire RomAdopt a-t-il pu exiger de nouveaux versements de la part des parents en les mettant sous pression?

7. Pourquoi la Confédération ne juge-t-elle pas nécessaire de répondre aux lettres d'un groupe de parents concernés (du 12 juillet 2004 et du 30 septembre 2004), lettres qui portent sur les recommandations qu'elle a adressées aux cantons?

8. Comment s'est-on assuré du fait que les 69 enfants roumains entrés en Suisse depuis 2001 répondaient aux critères des cas spéciaux définis dans les bases légales roumaines? Combien de dossiers de parents ont été déposés avant et après le 14 décembre 2000 auprès de l'autorité centrale roumaine?

9. Le Conseil fédéral sait-il que la liste des cas recensés par l'ambassade de Suisse du 4 octobre 2004, qui a été remise au président roumain Iliescu, était erronée étant donné que 14 couples lésés avaient été enregistrés en Roumanie sans qu'un enfant leur ait été attribué?

10. Les autorités du canton d'Argovie ont-elles informé la Confédération, qui est dorénavant l'autorité de surveillance, des pratiques douteuses de RomAdopt qui sont connues depuis décembre 2001 et qui ont été dénoncées par des parents et des spécialistes? Qui sera dorénavant chargé d'analyser de telles informations?

Réponse du Conseil fédéral du 23.02.2005

Le 6 novembre 2003, l'autorité de surveillance des intermédiaires en vue d'adoption (rattachée à l'Office fédéral de la justice; ci-après "l'autorité de surveillance") s'est entretenue avec deux représentantes de l'intermédiaire en vue d'adoption RomAdopt. A l'époque, ces dernières ont déclaré que RomAdopt souhaitait suivre jusqu'au bout les dossiers en cours et interrompre ensuite son activité d'intermédiaire en vue d'adoption. Au cours de cet entretien, il a été convenu, entre autres, que RomAdopt n'accepterait plus de nouveaux dossiers de parents avant d'avoir clos tous les dossiers d'adoption dont elle s'occupait à ce moment. L'autorité de surveillance a considéré qu'il était important de se concentrer sur les dossiers en cours, pour les faire aboutir, et d'éviter de nouvelles procédures d'adoption bloquées avec la Roumanie. L'autorité de surveillance a donc décidé de retirer immédiatement RomAdopt de la liste des intermédiaires reconnus, malgré le fait que l'autorisation qui lui avait été délivrée était encore valable jusqu'au 31 décembre 2003, mais elle a autorisé l'intermédiaire à continuer de traiter les dossiers d'adoption déjà ouverts à ce moment-là.

Se joignant aux efforts déployés pour faire aboutir les cas en suspens, le Conseil fédéral a remis au président de la Roumanie, à l'occasion de sa visite d'Etat en Suisse, le 15 décembre 2003, une liste de tous les dossiers encore ouverts (pas seulement ceux de RomAdopt) en le priant de faire en sorte que ces procédures puissent être menées à terme le plus rapidement possible, dans l'intérêt des enfants concernés. Par une lettre du 24 décembre 2003, l'autorité de surveillance a informé tous les couples concernés de la rencontre entre le Conseil fédéral et le président roumain. Malheureusement, les efforts du Conseil fédéral sont restés sans résultat à ce jour. L'arrêt complet de toutes les adoptions décrété par le gouvernement de Roumanie le 5 février 2004 a fait disparaître l'espoir d'un aboutissement des dossiers en cours. Par une note du 23 février 2004, l'autorité nationale roumaine en matière d'adoption (comité d'adoption) a informé l'ambassade de Suisse à Bucarest de la suspension complète de toutes les procédures. L'ambassade suisse a relayé cette information aux couples concernés en Suisse par une lettre en date du 22 mars 2004. Par une lettre datée du 19 avril 2004, l'ambassade de Suisse à Bucarest a informé une nouvelle fois les couples concernés de la situation en Roumanie concernant les adoptions internationales.

1. Les couples qui avaient conclu un contrat avec RomAdopt n'avaient pas à être informés en janvier 2004, puisque RomAdopt était autorisée à continuer de s'occuper des dossiers en cours.

L'intermédiaire RomAdopt a été menacé d'une plainte pénale en raison d'indications selon lesquelles il ne se conformait pas aux termes de l'accord du 6 novembre 2003 mentionné ci-dessus.

2. L'information fournie à ce couple était correcte, dans la mesure où RomAdopt était autorisée à continuer de s'occuper du dossier dont il est question.

3. Cette question est aujourd'hui de nature purement hypothétique, puisque les lois en vigueur en Roumanie n'admettent plus aucune adoption internationale (sauf dans les cas où l'enfant roumain est adopté par ses grands-parents vivant à l'étranger; loi no 273/2004).

Si l'adoption internationale devait un jour à nouveau être autorisée par la Roumanie, l'autorité de surveillance devrait examiner la question de savoir si le traitement des dossiers en suspens pourrait encore être confié à RomAdopt. Les couples qui ont retiré le mandat qu'ils avaient donné à RomAdopt sont eux-mêmes responsables de leur dossier.

4. L'autorité de surveillance vérifie que les conditions de l'ordonnance sur l'activité d'intermédiaire en vue de l'adoption sont respectées et arrête des sanctions lorsqu'elle a connaissance d'infractions aux dispositions de cette ordonnance. La surveillance n'offre pas d'autres garanties, en particulier concernant l'issue positive d'une procédure d'adoption.

5. L'arrêté gouvernemental urgent relatif au moratoire sur l'adoption a été pris le 8 octobre 2001 (121/2001). Cet arrêté confirmait, certes, sur le fond, la décision prise par le comité d'adoption de Roumanie, le 21 juin 2001, d'interrompre les adoptions internationales, mais l'arrêté gouvernemental 121/2001 ne se réfère pas à la décision du comité d'adoption et ne mentionne pas la date du 14 décembre 2000. L'arrêté gouvernemental urgent du 8 octobre 2001 a finalement été approuvé et complété par la loi no 347/2002, votée par le Parlement roumain (entrée en vigueur le 18 juin 2002). Le chiffre 1 de la loi no 347, qui n'est aujourd'hui plus en vigueur, précisait que les demandes déposées avant l'entrée en vigueur de l'arrêté gouvernemental urgent 121/2001 devait être traitées selon le droit en vigueur à ce moment-là. Le chiffre 2 de la loi no 347/2002 mentionnait explicitement les exceptions: jusqu'au 5 février 2004, il restait possible, dans l'intérêt supérieur de l'enfant, de réaliser des adoptions, en dérogation du moratoire institué par la loi. L'ambassade suisse à Bucarest n'a ni accepté, ni refusé des dossiers. Son rôle consistait à vérifier les documents contenus dans les dossiers des cantons et à confirmer leur authenticité à l'Etat roumain. L'application des dispositions d'exception de la loi 347/2002 était de la compétence des autorités roumaines.

6. C'est le 15 mars 2004 que l'ambassade de Suisse à Bucarest et l'autorité de surveillance ont eu connaissance des versements supplémentaires exigés en vue d'un prétendu renouvellement de documents. Le jour même, l'autorité de surveillance a exigé de RomAdopt une information claire et transparente, et lui a interdit de susciter de faux espoirs quant à une issue positive des procédures d'adoption. Le 18 mars 2004, RomAdopt a envoyé aux couples concernés une information en ce sens par courrier électronique. Par lettre du 22 mars 2004, l'ambassade suisse à Bucarest a, par ailleurs, recommandé aux couples concernés de ne pas verser d'argent pour un renouvellement de documents, vu qu'aucun dossier n'allait de toute façon être traité avant l'entrée en vigueur de la nouvelle loi, au début de 2005. C'est notamment parce qu'en dépit de ces avertissements, des versements ont continué d'être exigés par RomAdopt que cette dernière s'est finalement vu explicitement interdire d'entreprendre la moindre démarche liée aux dossiers en suspens sans l'autorisation de l'autorité de surveillance. Cette décision a irrité certains couples qui souhaitaient continuer de collaborer avec RomAdopt et a été ressentie par eux comme un manque de soutien de l'autorité de surveillance pour mener à terme les dossiers en suspens.

7. Il a été répondu à cette lettre le 23 décembre 2004.

8. Les vérifications à entreprendre pour s'assurer que les enfants dont l'adoption est autorisée répondent aux critères légaux relevaient, et relèvent toujours, de la compétence des autorités roumaines. La date du 14 décembre 2000 mentionnée par le comité d'adoption dans sa décision du 21 juin 2001 n'est pas pertinente, puisqu'elle n'a été reprise ni dans l'arrêté gouvernemental 121/2001, ni dans la loi 347/2002.

9. Oui, s'agissant de ces 14 couples, la liste n'était pas exacte concernant les enfants non attribués. A la fin de 2003, il n'y avait pas de raison de mettre en doute le contenu de la liste. Cette liste a été établie sur la base des informations dont disposaient les intermédiaires en vue d'adoption et l'ambassade suisse. Suite à une discussion avec une représentante de l'ambassade de Roumanie à Berne, le 4 novembre 2004, l'autorité de surveillance a demandé à l'ambassade de Roumanie, par lettres des 8 novembre 2004 et 17 janvier 2005, une liste mise à jour. Dans sa réponse du 21 janvier 2005, l'ambassade de Roumanie communique qu'il n'y a actuellement pas d'interlocuteur en Roumanie pour les questions d'adoptions internationales.

10. Oui. Le canton d'Argovie a transmis les dossiers de RomAdopt à l'autorité de surveillance de la Confédération par sa lettre du 27 février 2003. A ce moment, l'autorisation sans charges ni conditions délivrée par le canton d'Argovie était encore valable jusqu'au 31 décembre 2003. Depuis le 1er janvier 2003, l'analyse d'informations relatives à des pratiques douteuses relève de la compétence de l'autorité de surveillance de la Confédération.

 
 

Chronologie / procès-verbaux

Date Conseil  
18.03.2005 CN La discussion est reportée.
20.12.2006 CN En suspens depuis plus de deux ans; classement.
 
 

Descripteurs (en allemand):

Aide

Indexation complémentaire:

28; 12

International Adoption: Changes and Challenges

I remember so vividly waiting at JFK Airport for my 6 year old twin daughters to arrive from Ethiopia via London. I was excited and a bit nervous, and seeing them walk into the waiting area was indescribably wonderful. Now, two years later, I work for a group of licensed, non-profit international adoption agencies. I am struck by how many of the same qualities are needed for parenting and for dealing with international adoption: patience, flexibility, a sense of humor, and the ability to just hang in there.

CHANGE IS CONSTANT

The history of international adoption in the United States is relatively brief, having begun in earnest after the Korean War with the arrival of Korean and Amer-Asian orphans placed with American families. Since then, many thousands of children have been adopted from South America, Central America, Africa, Asia, and Eastern Europe: over 11,000 children came home to the United States last year alone.

The major countries of origin (ranked by number of children adopted in the U.S.) last year were China, Russia, Korea, Romania, Guatemala, and India. Interestingly, just 10 years ago, the major countries of origin were Korea, Philippines, India, Colombia, and Chile. Adoptions from China and Russia began in earnest only within the last few years, but the numbers of children adopted internationally from those two countries have been substantial. Changing economic, social, and political factors often influence a country's decision to place children internationally. Countries may "close" to adoption, with little notice; others may open, and dramatically change the landscape of intercountry adoption.

For prospective adoptive parents, these changes can mean additional challenges for creation of their families. International adoption is always transcultural; it also is often transracial as well, and parents need to think through the long-term implications of these factors for their families. Adoption agency staff are trained and prepared to guide parents through their decision process, and are accustomed to dealing with the changes: it's not always so easy though!

Romanian child adopted and sodomised for years: ZIUA

Romanian child adopted and sodomised for years

-- Pedophile US minister William Delos Peckenpaugh had "excellent references"

US citizen William Delos Peckenpaugh from Oregon is on trial. He abused sexually his adoptive son of Romanian origin. This was unveiled when a recording showing his deeds was discovered in the memory of the video camera which he returned to an electric device shop, informs Salem News.com from Oregon. Peckenpaugh is aged 37 and last week he was accused of having committed 6 first-degree sodomy acts, 2 first-degree sexual abuses and use of a child for sexual exposure.

The man has got no criminal record. He was arrested and is now in the Marion prison and he may not be set free on bail. The abused child is now 9 and was taken over by the Social Services and placed in a childcare institute.

The Marion County Sheriff Office started investigation in mid November, after a couple had bought a video camera from a shop and discovered in the memory a recording of the supposed sexual abuse. Marcela Dumitras, Head of the Child Protection Department in Buzau, stated William D. Peckenpaugh had excellent references when asking for adoption. " The person asking to adopt Daniel, a 4 - year old child abandoned by his parents at Childcare Institute no. 6 in Ramnicu Sarat, looked respectable. He was a minister at the Methodist Church in the locality. He was involved in several community activities. In his leisure time he used to participate in volunteer activities to the use of community and helped his brother and sisters with the children", Marcela Dumitras also said. Last week Romanian authorities claimed that they had received only positive reports on him from US authorities that were said to monitor the child's evolution. (G.D.)

Organs: Le noyau est en ALBANIE !!!

Le noyau est en ALBANIE !!!
7 décembre 2004 à 16h42, par sakis
sakis « Oui vous prenez les enfants tsiganes depuis l’albanie … » Voilà qu’on viendrait prendre les enfants de notre gré en Albanie maintenant ? Quel stupidité !!! Un conseil, ne jamais être trop sûr de soi car on empêche d’évoluer. Ah bon ? Rien que chez nous ? Tu veux que je te raffraichisse la mémoire peut-être ?
  L’Ambassade de Grèce à Tirana a expédié à la police de Thessalonique un rapport secret portant sur un sordide réseau de trafic d’organes d’enfants, qui fonctionnerait depuis l’Albanie vers la Grèce et l’Italie.
  des « enfants de Tirana ont été assassinés et leurs organes sont partis pour l’Italie et la Grèce dans les valises diplomatiques de fonctionnaires ALBANAIS »
  Un ministre ALBANAIS et quelques diplomates seraient au cœur d’un réseau de médecins.
  le cerveau est un universitaire Italien.
  l’organisation et les membres du réseau fonctionneraient depuis Durres.
  Le rapport raconte que cet odieux commerce aurait débuté en 1994 et que les victimes provenaient surtout de l’orphelinat de Tirana.
Voilà des faits qui t’éclate dans la figure, n’est-ce pas ? Et beaucoup d’anciens ministres Albanais sont impliqués dans cette histoire. Si vous croyez être plus blancs que blanc, vous vous trompez grave !!!
Mais bon ça n’a pas d’importance pour toi, puisque tu préfères te rappeler des événemens qui t’arrange dans ta (ou votre, puisque tu n’es pas le seul albanais ici) campagne anti-Grecque.
Moi en tout cas je reconnais pleinement les fautes de ces fous en Grèce, et ce qui me soulage dans cette histoire c’est que les autorités du pays combattent ces réseaux maccabres, tandis que je n’ai toujours pas vu l’Albanie réagir.
Bonne chance quand tu te regarde le matin dans une glace.
Sakis
 
 
 
trafic d’organes d’enfants dans les milieux diplomatiques ?
Traduit par Mandi Gueguen

Rehn on UNCRC - Question RP consistent approach

Meeting Commissioner Rehn with DG Enlargement

Brussels, 29 November 2004

Question Roelie Post

The Commission monitored children’s rights in Romania under the Copenhagen criteria. It found that children’s rights were not sufficiently protected. Following this the Romanian government addressed this issue.

However, this issue exists also in other countries in the region. It may even increase there, after Romania’s successful approach.