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CLAIRE GIRAULT: PASSIONS, RAISON, VOLONTE

CLAIRE GIRAULT: PASSIONS, RAISON, VOLONTE   
Dimanche, 14 Décembre 2008 18:06

L'eurodéputée Claire Gibault à la baguette : Un grand concert à Strasbourg pour marquer la fin de la Présidence française.
Sur invitation au palais des Congrès et de la musique de Strasbourg et en direct ce mardi à 20 heures sur la chaîne Mezzo avec retransmission dans 39 pays, ainsi que sur France Inter et plusieurs radios européennes : l'eurodéputée Claire Gibault retrouve sa baguette de Chef d'orchestre pour diriger un événement musical en clôture de la Présidence française de l'Union européenne.
Afin de célébrer l'Europe dans toute sa richesse et sa diversité, Claire Gibault a souhaité rassembler pour un concert Berlioz la Philharmonie slovaque, entourée de 200 enfants choristes venus de plusieurs pays de l'Union (Allemagne, Belgique, Espagne, Estonie, France, Grande-Bretagne, Italie, Pologne), de la cantatrice italienne Anna Caterina Antonacci et de l'altiste français Arnaud Thorette.
CLAIRE GIBAULT, ou une femme de combats intelligents
Elle pétille d'intelligence et d'esprit. Elle a du charme Elle a surtout des convictions qu'elle défend avec volonté (et non simple volontarisme), avec force, avec énergie. Avec un art de marier passion et raison. Une femme de combats, Claire !


Je suis une « féministe réaliste mais déterminée » confiait-elle à Relatio en février dernier avant même le lancement de Relatio-Europe. « La force de convaincre et de me battre, je l'ai apprise dans mon métier. Il faut une patience, un entêtement, un amour des autres, le goût des autres, pour réussir, pour subsister, pour s'imposer ». C'est elle qui le dit. Et elle est ce qu'elle dit.
Elle sait aussi d'expérience que dans ce monde qui reste marqué par un machisme pathologique, une femme doit se battre plus qu'un homme à qualités égales pour s'imposer. Ne reste-t-elle pas la seule femme chef d'orchestre en France ? Et même si le Parlement européen compte plus de femmes que bien des parlements nationaux, elle reste réaliste : « Au parlement européen, il y a, à peu près 40 % de femmes, mais à la tête des grandes commissions il n'y a que deux femmes sur 25 commissions. Beaucoup reste à faire. Pourtant il paraît que nous travaillons plus et mieux que les hommes ! »
Anecdote : « En juillet 1969, après mes études, j'ai dirigé pour la première fois. C'était un événement puisque j'étais à la une d'un journal parisien avec pour titre « Une femme a dirigé un orchestre », juste sous la grande photo de Neil Armstrong marchant sur la Lune ! »
Les choses n'ont guère évoluées depuis 1969 « Qu'une femme soit chef ou qu'elle ait du talent pour une place de soliste c'est presque toujours la même chose : le jury ou l'orchestre lui préfère un homme, même si sa prestation derrière un paravent a été jugée remarquable. Dès qu'on sait que c'est une musicienne qui joue, c'est un homme qui est sélectionné. »
Elle développe : « Il faut bien reconnaître qu'en dépit de progrès incontestables, bien des postes liés au pouvoir et à la gloire sont tenus par des hommes...A Lyon, en dépit du soutien total de l'équipe de direction, j'ai dû affronter quelques mouvements de ...surprises et d'humeur.. Certains réagissaient violemment à ma nomination, refusaient de jouer sous la direction d'une femme. Lorsque je passais au milieu des musiciens pour arriver jusqu'à mon pupitre, il m'arrivait d'entendre des choses très désagréables sur mon passage...J'avais l'impression que beaucoup de mon énergie passait à me défendre en tant que femme. C'est vrai.
Mais au final, tout s'est bien passé. La vie est un combat. On peut aussi en tirer des satisfactions... En fait, j'aime la complémentarité homme-femme. Je me sens différente des hommes, mais j'ai envie d'en faire autant et aussi bien voire mieux qu'eux. Je ne cherche pas à ressembler à un homme, mais je pense que la pensée des femmes vaut bien celle des hommes. »
Est-ce parce qu'elle est femme ? Elle dirige rarement en France (en 2006, elle a été boudée par l'orchestre symphonique de Radio France...). Mais Claire Gibault est régulièrement invitée au Covent Garden de Londres, à la Scala de Milan, à la Philharmonique de Berlin ou à l'Opéra de Washington... « Il faut être juste :la discrimination envers les femmes dans les milieux musicaux n'est pas que française : elle est très courante dans le grand pays de la musique qu'est l'Autriche, par exemple ».
Claire GIBAULT est entrée en politique par la culture. « Pour agir ». Et par une volonté : « ne pas être esclave de mon ego, mais servir les autres dans la mesure de mes moyens ». La musique « reste plus qu'un métier, une passion », mais au Parlement européen elle a trouvé un terrain à la mesure de sa « soif de faire »
Explications : « Quand j'étais directrice de l'orchestre de Chambéry, j'allais défendre les budgets de l'orchestre devant le conseil municipal, devant le conseil général, régional, au ministère. Au sein de l'opéra de Lyon, j'ai appris avec l'équipe de direction, ce qu'est une politique culturelle, les dialogues avec les comités d'entreprise, la conception d'une politique de grande qualité et populaire à la fois. La formation du public. L'avenir même du genre de l'opéra et des concerts. C'est extrêmement mobilisateur de faire une vraie politique culturelle et c'est là que j'ai compris que la culture ce n'est pas un luxe qui vient après le nécessaire. Que l'état spirituel, culturel de l'homme, est vraiment le soubassement des événements historiques. Que dans l'épanouissement sensible d'un être l'affectif, passait par l'émotion artistique, pour qu'il puisse devenir un individu complet. Donc, je n'avais pas du tout envie de me lancer en politique, je n'en avais pas l'idée, mais on est venue me demander. On m'a fait une proposition intéressante, et en un mois, sans y avoir rêvé le matin, je me suis retrouvée député européen et je ne le regrette pas du tout. Je m'y sens bien et utile »
Elle siège bien sûr dans la commission la commission « culture et éducation », Avec une préoccupation : culture et éducation doivent devenir des priorités européennes et doivent être liées.
Plaidoyer : « C'est difficile parce qu'au nom de la subsidiarité culture et éducation dépendent d'abord des Etats voire, en Allemagne notamment, des Régions, des Länder. Mais il importe de donner des impulsions, des orientations, de tirer parti des meilleures expériences faites en Europe...Je pense qu'il faut commencer l'éducation artistique dès la maternelle et qu'elle doit commencer par la pratique artistique. L'éducation artistique c'est charnel, ce n'est pas cérébral, c'est d'abord, faire, éprouver et ensuite théoriser. Donc, je suis un peu sur ma faim, quand je vois le rapport qui a été remis à Christine Albanel et Xavier Darcos. J'ai envie de dialoguer avec eux, pour leur apporter aussi mon expérience. Je dis qu'on n'étudie pas l'histoire du sport à la maternelle. On fait du sport. Et on n'étudie pas l'histoire de la sexologie avant d'en avoir l'expérience. »
De l'éveil à la musique : « C'est comme la grammaire et la lecture...Il faut vraiment commencer par la PRATIQUE artistique à la maternelle, danser, chanter, parce que cela à un impact sur la réunification du corps, du coeur et de l'esprit ce qui est fondamental. Plus un enfant est libre dans son corps et dans son esprit, plus il est réunifié, et mieux il peut apprendre les autres choses. Actuellement on parle beaucoup du rôle de la musique dans la mémoire, et la mémorisation, on l'évoque même dans la prévention de la maladie d'Alzheimer. Donc on est toujours encore dans cette dissociation des fonctions, comme si, il y avait le corps et le sport et puis les apprentissages fondamentaux pour la tête. Et grâce à l'éducation artistique, on peut réunifier toutes ces fonctions ».
Et elle parle d'expérience ! « A 4 ans j'ai commencé le solfège, à 5 ans le piano, à 7 ans le violon, à 10 ans la musique de chambre, et à 13 ans la direction d'orchestre...Mon père musicien y est pour quelque chose... »
Autre priorité : le statut social des artistes.
« Personne n'a été aussi loin que je l'ai été, et la Commission essaie de mettre en application ce que j'ai préconisé dans mon rapport sur la mobilité et sur le statut social des artistes. Donc, j'en suis extrêmement fière. Ça va concerner tous les artistes européens, leur retraite, la sécurité sociale, le chômage...
Il y a des disparités considérables d'un pays à l'autre...Nous sommes là aussi face aux questions que pose la subsidiarité, mais j'ai obtenu une coordination, une amorce d'harmonisation. Actuellement des artistes qui voyagent en Europe, cotisent pour le chômage, pour leur retraite, mais n'en reçoivent jamais rien en retour. C'est-à-dire le pays d'accueil, le pays où ils ont des engagements professionnels les taxent sur leur cachet, mais ne reversent jamais rien au pays d'origine. Résultat : les artistes arrivent à la fin de leur vie, sans retraite....Et ce sont ceux qui voyagent le plus, qui en pâtissent le plus.

Or, la mobilité des artistes, la mobilité en général d'ailleurs, est un sujet fondamental en Europe. J'espère et je pense avoir été entendue : nous en verrons des applications concrètes prochainement. En tout cas, je suis chaque semaine les avancements de ces projets. J'avais souhaité une carte de sécurité sociale européenne à puce électronique sur laquelle serait reconstituée toute la carrière des artistes avec tous leurs employeurs, vérifier par la même occasion qu'ils ont bien payé leur impôts, en contrepartie. Ce ne sera pas dans un premier temps, une carte de cette nature, mais, il va y avoir une sorte de passeport européen sur lequel tout sera répertorié »
Ce qui est vrai pour les musiciens l'est aussi pour les écrivains, pour les sportifs de haut niveau, pour des chercheurs, pour des cadres... Pour beaucoup de monde ...
« Vous voyez qu'il y a beaucoup de travail. Et c'est cela l'Europe concrète, l'Europe des citoyens, l'Europe qui améliore les vies quotidiennes des gens. Je suis passionnée par mes activités au parlement européen »
Elle siège aussi bien sûr au sein de la « commission du droit DES femmes et de l'égalité des genres ». Cette « féministe moderne » va d'ailleurs présenter cette semaine un rapport sur « l'égalité de traitement et d'accès entre les hommes et les femmes dans les arts du spectacle ». Un rapport qui s'ajoute à d'autres. « Quand je m'engage, je m'engage à fond. Au parlement européen, j'ai le sentiment de faire un travail utile, qui concerne directement la vie des gens. » : les femmes et la pauvreté, la conciliation de la vie professionnelle et familiale ou les femmes migrantes. Sans oublier, bien sûr, ses travaux très concrets sur l'adoption internationale.
Là encore elle sait de quoi elle parle et pourquoi elle veut ce qu'elle veut : Elle est mère adoptive de deux enfants togolais.
Son seul vrai problème, c'est celui de tous les actifs : le temps... Le temps, mesure de la vie... Entre pupitres, hémicycles, salles de réunions, actions politiques, vie familiale, engagements associatifs, trains et avions et ...réflexion. Comme elle déteste les fausses notes en tout, elle s'investit à fond dans tout ce qu'elle entreprend. Dans ses fosses d'orchestre, au Parlement européen et ailleurs.
D'ailleurs, comme si son agenda n'était pas déjà surchargé, elle s'est lancée dans la bataille des municipales à Paris (elle est conseillère municipale dans la 4e circonscription de Paris) et dans les élections législatives de juin 2007. Elle anime avec Jean-Marie Cavada « Avenir démocrate », un forum d'actions politiques qui fédère des déçus de Bayrou.
Son grand regret : celui « de ne pas donné assez d'attention, de temps et d'affection à ceux qui en sollicitent » de sa part.
L'une de ses citations préférée : cette phrase de Victor Hugo qui vaut « commandement » : «La volonté trouve, la liberté choisit. Trouver et choisir, c'est penser.» Or, pour elle, penser doit conduire à l'agir.
Elle semble conduire sa vie comme elle mène ses musiciens : « avec une attention et une autorité sans faille ». Ce qui ne l'empêche évidemment pas d'aimer tous les fruits de la vie. Et de voir de la lumière même quand les ombres dominent : « Ce que je déteste le plus, c'est le pessimisme »...
DR.

Williams case has twist

Williams case has twist
Events have taken a bizarre twist after The Star first published an article about Jose
Williams and his plight, in which the magistrate handling his daughter's case denied
that the infant had ever been the subject of any adoption proceedings and refused
to comment any further.
The Star had simultaneously also asked Abba Adoptions manager Katinka Pieterse
to confirm or deny that the magistrate in question, Sarie Snyman, had previously
travelled overseas with Abba. She declined to do so and suggested that "you follow
that up with her".
Snyman then wrote a letter to Williams' attorneys, which was also placed in Baby
T's court file, in which she stated: "Myself as commissioner has received
threatening phone calls from a Johannesburg newspaper, after I refused to give out
any information for publication regarding this matter. After this, I received constant
anonymous phone calls, which I experienced as threatening and most upsetting."
Snyman has refused to explain her claims to lawyers for The Star, which was the
only newspaper to write about Williams and his battle for his daughter. Nor has she
laid any charges related to the alleged threats. - Karyn Maughan

Safe in dad's arms again

Safe in dad's arms again
By Karyn Maughan
Falsely accused of being an abusive and mentally unstable drug addict, Jose
Williams nearly lost his baby daughter to an adoption to which he was fiercely
opposed.
But the 26-year-old refused to give up on his first-born child and, after the claims
made against him by his baby's mother and the Abba Adoption agency were shown
to be baseless, he won his nearly nine-month-long battle to obtain custody of the
little girl on Wednesday.
On Wednesday, he and his daughter played "aeroplanes" together in the garden of
the family home. He grinned with delight, and she chuckled as he swung her around.
Earlier in the day, in an apparent about-turn, Abba - which had earlier wrongly
branded Williams as an aggressive man who abused his baby's mother and had
argued that his daughter should be put up for adoption - recommended to the
Pretoria Children's Court that he be given custody.
The Children's Court agreed and awarded Williams custody for a two-year period,
during which he will apply for permanent custody of his daughter in the Pretoria High
Court.
Williams, who is preparing to lodge a complaint of unethical and unprofessional
conduct against Abba with the SA Council for Social Service Professions, now
wants to ensure that no parent ever has to "go through what I did".
Speaking to The Star at the Kensington, Joburg, home that he shares with his
mother and sisters, Williams sat with his eight-and-a-half-month-old daughter
nestled in his lap. The little girl regularly fixed her gaze on her father - who shares
her birthday with her - and beamed.
In the month since her father was allowed to remove her from the state baby home
where she spent the first seven months of her life, the little girl has gained 2kg.
"It scares me so much that I could have lost her," Williams said.
"If I hadn't been able to raise money for a lawyer and had the loving and supportive
family that I do, I don't know what would have happened. My daughter could be
living with a family on the other side of the world. I thank God that she is here with
me."
Williams' ordeal began two months before his daughter was born, when the child's
mother approached Abba and asked them to arrange for the adoption.
According to the baby's mother, this was because the agency had helped her when
she fell pregnant at 17, and she wanted them to arrange that the same couple who
adopted her previous baby be given Williams' child.
But Williams was adamant that he would never give up his daughter - and it was
then that his troubles began.
Williams is now hoping that his planned complaint to the council will shed light on his
daughter's foiled adoption and expose the allegedly unlawful conduct that nearly saw it succeed.
His complaints against Abba include the following:
Under the new Children's Act, an unmarried father can acquire full parental
responsibilities and rights if he consents to be identified as the child's father or has
contributed to the child's upbringing or maintenance. All of these conditions apply to
Williams.
While Abba manager Katinka Pieterse earlier insisted to The Star that the
adoption of Williams' daughter was immediately halted when he indicated that he
opposed it, Williams insists that Abba social worker Leoni Greyling informed him
there was "nothing I could do" to stop the process.
Records from Steve Biko (formerly Pretoria) Academic Hospital reveal that
Greyling used a "Form 4" document to take Williams' daughter and place her in a
place of safety affiliated with Abba after her birth. In the document, Greyling
claimed she would obtain Williams' consent for the removal. She never did.
Williams and his mother, Heloise Sequeira, learnt of his daughter's birth a week
after it happened, when Greyling sent them an SMS. They later drove to the
Pretoria Children's Court, where Sequeira said she discovered the April 16 court roll
and found a reference to her granddaughter's hearing as an inter-country adoption.
Pieterse insists that the hearing was a "child in need of care" case.
On the day of a crucial June 17 hearing into his daughter's future, Williams
claims he received a phone call from Greyling in which she told him that he was not
required to attend because it was "final" that the child would be adopted. She later
wrote in a report that Williams had failed to show up at the meeting.
In another report, Greyling stated without any proof that it was "clear that the
biological father did abuse the biological mother before and during her pregnancy".
Williams' lawyer has obtained proof that Pieterse responded to international
queries about The Star's article on Williams' plight by claiming that Williams was a
drug addict. Drug test results obtained by Williams - and seen by The Star - show
that he does not use drugs. Pieterse said she does not recall sending the e-mail.
Backed by SMS evidence, Williams also claims he was denied the right to visit
his daughter over a two-month period.
In response to e-mail queries from The Star, Pieterse denied any wrongdoing on
Abba's part, insisting that all issues related to Williams' daughter had been dealt
with in a legally correct way.

Embassies push for transparency in adoptions

Embassies push for transparency in adoptions

KIRAN CHAPAGAIN

KATHMANDU, Dec 7: Embassies of 12 countries entertaining inter-country adoptions from Nepal have jointly asked the government to ensure transparency and meet international standards while processing inter-country adoption cases.

The embassies passed their concerns in the form of a note verbale (a diplomatic memorandum) to the government via the Ministry of Foreign Affairs on November 24 after they found that the "inter-country adoptions from Nepal were not meeting international standards and practices determined by the Hague Convention". The convention says that adoption should take place in the best interest of the children.

"The group offers its support and urges the Government of Nepal to strengthen the beneficial cooperation with the Hague Conference [Hague Convention], e.g. to ensure that internationally recognized standards and practices," reads the note verbale possessed by myrepublica.com from its sources at the Ministry of Foreign Affairs.

Nieuwsbrief Ethiopië

December 2008

Nieuwsbrief Ethiopië

Met de Jaarwisseling voor de deur willen wij u, via deze Nieuwsbrief , op de hoogte brengen van de stand van zaken in het Ethiopië contact.

2008 is een bewogen jaar geweest, zeker voor u, als wachtende ouders. Oplopende wachttijden voor aanvragen van kinderen vanaf 2 jaar, minder adoptieaankomsten, verhoging van de adoptiekosten en aangekondigde bezuinigingen en sanering van personeel bij Wereldkinderen.

Stand van zaken

Intercountry Adoption Reform Based on the Hague Convention on Intercountry Adoption: An Update on Guatemala in 2008

Intercountry Adoption Reform Based on the Hague Convention on Intercountry Adoption: An Update on Guatemala in 2008

Print This Post EMail This Post November 29th, 2008

Karen Smith Rotabi, Richmond, Virginia (USA) and Kelley Bunkers, Addis Ababa (Ethiopia)

Until recently, Guatemala was on a per capita basis the largest source of US-adopted children in the world. At its peak, it was estimated that as many as 17 young Guatemalan children, many of them infants, departed Guatemala daily as an intercountry adoptees. The phenomenon was so common that the departure airline flights were called the “baby flight” by adoption agencies and families (Rotabi, 2007a). This dynamic underscores the fact that 98% of all adoptions were carried out internationally rather than domestic adoption placements with Guatemalan families (Latin American Institute for Education and Communication [ILPEC], 2000; UN, 2000). Dating back to the year 2000, reportedly 27,805 Guatemalan children were adopted by United States citizens (United States Department of State [USDOS], n.d.). US data are particularly relevant because a number of other industrialized nations, including Canada, enforced a moratorium on Guatemala as a sending nation due to adoption irregularities, and as a result, the vast majority of children were sent to the US during this time period (Rotabi, Morris & Weil, in press).

This Millenium adoption surge took place in the face of allegations and evidence of serious human rights abuses, including warnings from the US government and direct language such as “child trafficking” (United States Government Accountability Office [US GAO], 2005). While it is not certain just how many cases were fraudulent, illegal birth mother payments are believed to have become routine practice in recent years and this form of child sales was only one unscrupulous tactic of child traffickers.

Blog - Een dag vol emoties (POLICE)

Jelle en Dianne, 28 november 2008
 Kenia , Nairobi
Een dag vol emoties
Yes! Yes! Vanaf vandaag is Isis Taman officieel onze dochter!

Gisteren zagen we op internet dat we op de rol staan voor de zitting van vandaag! Wauw. We hoopten hier op maar omdat het erg snel is hielden we er uiteraard rekening mee dat het ook volgende week had kunnen zijn.

Om 7.30 uur staan we weer strak in pak klaar om naar de rechtbank te gaan. We zijn best wel gespannen. Gaat het lukken vandaag? We nemen plaats in de gang en het lange wachten begint. Hugo en Chantal zijn er ook met Baraka. De lijst met zaken is niet lang vandaag. Onze zaak staat als 6e op de lijst. Hugo en Chantal zijn net voor ons. Dat ziet er veelbelovend uit. Waarschijnlijk zal de rechter dit wel weg kunnen werken. Maar je weet maar nooit. Om 10.00 uur zijn Hugo en Chantal al aan de beurt. En om 10.45 uur komen zij breed lachend de kamer uit: het is nu officieel Baraka Vrijdag. Zo en nu wij, denken we. Maar nee. De rechter loopt zijn kamer uit en verdwijnt. Koffiepauze? We weten het niet. Hij blijft lang weg. Hij heeft toch niet bedacht om al aan zijn weekend te beginnen........ Het blijft toch Kenia.

Maar gelukkig komt hij terug en mogen we om 11.15 uur naar binnen. De rechter neemt de papieren door, stelt wat vragen aan onze advocaat en vraagt om advies bij de persoon van de kinderbescherming, het LAN en onze Guardian. Isis loopt een beetje rond, om het bureau van de rechter heen, maar dat is geen enkel probleem. Ze is wel moe en valt op een gegeven moment bij Jelle in slaap. Na een klein half uur zegt de rechter ineens 'all rise' en moeten we naar buiten. Alles is oké! De rechter gaat nu de uitspraak op papier zetten en wil dat in alle stilte alleen doen. Dus weer wachten. Ons gevoel over de zaak is goed maar we blijven heel gespannen. Dan mogen we terug naar binnen. De rechter gaat er even goed voor zitten en doet zijn uitspraak. De adoptie wordt aan ons toegekend. De rechter stelt ons nog wat persoonlijke vragen en sluit dan af met: “Take good care of my child”. “Yes, we will.” En dan is het voorbij. We gaan naar buiten en we zijn nu officieel de ouders van Isis Taman. Een heerlijk gevoel. Ontlading en blijdschap bij ons allen.

Hugo en Chantal zijn ondertussen al naar Java koffiehuis gegaan om koffie met gebak te bestellen. Wij gaan daar snel heen zodat we dit super nieuws samen kunnen vieren. Ook onze beide guardians en de onze advocaat zijn er bij. We hebben net wat besteld om het moment dat een man Hugo op zijn schouder tikt. De man stelt zich voor als iemand van de CID (Criminal Investigations Department) en of we even mee willen komen voor een paar vragen. Wat gebeurd hier? De man zegt dat er niets aan de hand is. Alleen wat vragen over kinderhandel. Huh? We schrikken ons helemaal lam. Vervolgens begint onze advocaat als een gek te bellen en probeert via de bazen opheldering te krijgen. Ondertussen verschijnt er buiten een legertruck met daarin acht mannen. Of we even mee gaan naar het politiebureau. We rekenen snel af en staan in no time tussen alle mannen in op straat. We vragen de advocaat wat er aan de hand is maar hij zegt in de auto's te stappen en geen vragen te stellen. Gelukkig niet in de truck maar in 2 personen auto's. Onderweg wordt duidelijk dat we aangehouden worden op verdenking van kinderhandel. De mannen zijn erg intimiderend en bestoken onze guardian met vragen als: bij welke organisatie zitten jullie? Waar komen deze kinderen vandaan? etc. Heb je net een uurtje geleden een uitspraak van de rechter gekregen dat je ouder bent van een Keniaans kind word je ineens beticht van kinderhandel. Het is allemaal heel beangstigend en de mannen zijn erg intimiderend.

Baraka Paul Vrijdag! Een dag vol contasten...

Reisverslag

Kenia

webmaster, 28 november 2008

Kenia Nairobi

Baraka Paul Vrijdag! Een dag vol contasten...

Illegaler Babyhandel Schweizer Behörden schauen weg!

Illegaler Babyhandel

Schweizer Behörden schauen weg!

Von Thomas Ley | 10:14 | 28.11.2008

LUGANO – Babyhändler wie Nadia B. (35) haben einen Komplizen in ihrem dreckigen Geschäft: den gleichgültigen Staat.

Wer ein Kind aus dem Ausland adoptieren will, hat die Wahl: Den legalen, politisch korrekten Weg – und bisweilen jahrelangen Frust (Box unten).Oder den einfacheren, kürzeren – den illegalen Weg. Der aber ein dreckiges Geschäft unterstützt. Das Geschäft von zwielichtigen Figuren wie Nadia B.* (35) aus Lugano.

Arisi Marco Emilio- Direttore della U.O. di Ostetricia e Ginecologia, Ospedale Regionale

Not sure it is the same person

Arisi Marco Emilio

Direttore della U.O. di Ostetricia

e Ginecologia, Ospedale Regionale

S. Chiara, Trento